Le songe
d'une nuit d'été
de William Shakespeare
Une pièce fantaisiste du
plus célèbre dramaturge
de tous les temps
Genre(s) : théâtre, romance, fantastique, classique
Date de parution : 1595
Pages : 110
Quatrième de couverture :
Le songe d'une nuit d'été, fantaisie baroque de Shakespeare probablement composée pour un mariage, mêle les fables et les personnages, le trivial et le merveilleux, et se donne d'abord comme un objet de plaisir.
Alors qu'on prépare les noces du duc d'Athènes et de la reine des Amazones, la reine des fées et le roi de la féerie se disputent, des amoureux en fuite s'initient en une nuit au grand jeu de l'amour, et les artisans de la ville répètent maladroitement un spectacle.
Toutes ces fictions se télescopent, faisant fi de toute vraisemblance. Le théâtre joue de son illusion en même temps qu'il la dénonce. Cette comédie débridée, en interrogeant la scène, parle de désir, de pouvoir et de langage, et offre à la salle complice un miroir révélateur.
Cette pièce a toujours été l'une de mes préférées : pour sa féerie onirique, qui se marie si bien à la poésie de Shakespeare et donne toujours lieu à des costumes et des décors magiques, et pour le personnage de Puck, archétype même du trickster jungien. Que serait le théâtre sans un peu de comique de situation?
Après relecture, je peux affirmer que c'est un classique qui ne se démode pas! J'espère avoir bientôt l'occasion de le revoir joué sur scène.
Les hauts : Des dialogues divertissants et des personnages amusants, dans un univers fantaisiste...
Les bas : Un humour un peu daté, mais qui au fond fait partie de son charme classique...