26 nœuds
de Bindu Suresh
Une romance tragique
moderne
Genre(s) : romance
Date de parution : 2019
Pages : 184
Quatrième de couverture :
Première œuvre flamboyante, 26 nœuds débute avec un incendie et se déploie comme un lit de braises chaudes. D'une portée grandiose et d'une admirable réserve dans l'exécution, 26 nœuds est un récit poétique qui se lit comme une fable moderne sur l'amour, l'obsession et tout ce qui se cache entre les deux. Araceli aime Adrien. Adrien aime Pénélope. Pénélope épouse Gabriel. Gabriel cherche le père qu'il n'a jamais connu. Le premier roman de Bindu Suresh, qui se déroule principalement à Montréal mais qui fait voyager les lecteurs partout au pays, évoque avec virtuosité les conséquences dévastatrices de la trahison et de l'engagement, du deuil et de l'espoir.
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Vingt-six nœuds comme vingt-six points d'attache, autant d'événements liant les fils du destin des personnages en un genre de macramé tragique des temps modernes, dépeignant les relations confuses et souvent infructueuses de jeunes adultes guidés par leurs passions et leurs obsessions.
C'est d'abord mon œil qui a été retenu, par cette couverture arcanesque marquée d'un titre mystérieux, puis les mots ont fait leur effet. L'écriture est très belle, poétique et sensible – mais également assez distanciée, ce qui donne l'impression d'observer les personnages de très loin. Leurs histoires d'amour et de haine ne sont pas du tout gnagna, mais j'ai eu un peu de mal à me laisser convaincre par leurs agissements, peut-être trop émotifs et pas assez rationnels pour moi. Reste qu'il y a quelque chose qui semble vouloir relever du mythe, dans leurs rapports passionnels et leurs déchirements. Ça demeure un beau texte, même si je ne me suis pas sentie aussi investie dans ma lecture que je l'aurais souhaité.
Les hauts : Des romances modernes, des personnages passionnés, une jolie plume...
Les bas : Une écriture un peu distante...