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Photo du rédacteurLibris Addictus

Mission accomplie! J'ai lu la série "Scott Pilgrim"


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Scott Pilgrim, tome 1 :

Precious Little Life

de Bryan Lee O'Malley

Une romance absurde sous le thème des jeux vidéos

Genre(s) : bande dessinée, romance, humour

Date de parution : 2004

Pages : 176

Quatrième de couverture :

La vie de Scott Pilgrim est géniale. Il a vingt-trois ans, il joue dans un groupe de rock, il est "entre deux boulots", et il sort avec une mignonne petite lycéenne. Tout est fabuleux, jusqu'au moment où une livreuse en rollers nommée Ramona Flowers, sérieusement atomique et dangereusement trendy, commence à traverser ses rêves et à le croiser à des fêtes. Mais le chemin qui mène à Mlle Flowers n'est pas couvert de pétales de roses. Ses sept ex-petits amis maléfiques barrent la route du véritable bonheur de Scott. Pourra-t-il vaincre les méchants et gagner le cœur de cette fille sans chambouler intégralement sa précieuse petite vie?



Le film tiré de cette série est un véritable film culte pour moi, alors mes attentes envers la BD étaient assez élevées! J'ai retrouvé, dans les pages, plusieurs éléments qui, pour moi, ont fait le succès de l'adaptation cinématographique : un humour décalé, des références geek, des personnages colorés, une intrigue amoureuse simple mais cute... et du kung fu!


Comme c'est souvent le cas, les illustrations s'améliorent nettement au fil des albums, et passent de "correctes" à "vraiment bien". La nouvelle édition en couleurs est très belle et ajoute vraiment au côté pop de la BD. Pour ce qui est du scénario, j'ai trouvé les albums un peu inégaux : certains sont très bien mais d'autres sont un peu plus faibles. Dans l'ensemble, j'ai trouvé cette lecture sympathique savoureusement absurde et hautement divertissante. J'y ai trouvé quelques longueurs en comparaison du film, qui est un excellent condensé de toute la série, mais peut-être que ma vision était un peu biaisée!


Cette série canadienne a été publiée entre 2004 et 2010, mais m'a étrangement rappelé mon adolescence : les band de garage, les look vestimentaires funky et les histoires d'amour confuses, c'est tellement 1998! Si je l'avais connue à cette époque, Ramona Flowers serait sûrement devenue une de mes héroïnes préférées!

 

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