Ce que nous avons perdu dans le feu
de Mariana Enriquez
Un recueil de nouvelles
horrifiques et engagées...
Genre(s) : nouvelles, épouvante
Date de parution : 2016
Pages : 246
Quatrième de couverture :
Une galerie de personnages qui se croisent à travers douze nouvelles à la limite de l'horrifique : un enfant de junkie soudainement disparu; une jeune fille qui se mutile en pleine salle de classe; Marco, qui tente d'échapper à sa propre existence; Pablo, hanté par la figure du tueur en série Petiso Orejudo; ou encore Adela, amputée d'un bras.
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Je ne peux pas dire avoir été surprise par ce recueil de nouvelles, car les thèmes qui y sont abordés sont très semblables à ceux qu'on trouve dans Les dangers de fumer au lit, un autre livre de Mariana Enriquez lu dernièrement. Dans les deux recueils, il est question d'inégalités sociales, de la vie en Argentine et d'événements surnaturels.
La redondance ne m'a pas ennuyée du tout, toutefois; elle génère plutôt une impression de cohérence. C'est un très bon livre. L'autrice parvient à réunir revendications politiques et divertissements macabres dans de courts textes sans laisser aucune couture apparente, ce qui à mon sens relève de la prouesse littéraire. Je lirai assurément ses prochaines publications.
Les hauts : Des histoires pertinentes, des ambiances inquiétantes...
Les bas : Sans grande surprise pour qui connaît déjà l'œuvre de l'autrice...
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